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 Fairy tales are nice, but they can't be real [Henry&Isabella]

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MessageSujet: Fairy tales are nice, but they can't be real [Henry&Isabella]   Fairy tales are nice, but they can't be real [Henry&Isabella] EmptyMer 23 Jan - 18:53

Fairy tales are nice, but they can't be real [Henry&Isabella] Tumblr_inline_mfcpygNPJS1rvit7o

Quelques semaines auparavant, Isabella se trouvait enfermée dans une minuscule cellule d’hôpital, sans savoir qui elle était, ni ce qu’il pouvait se passer à l’extérieur. Et voilà qu’à présent, elle était dehors. En moins d’une heure, elle avait pu sortir de sa prison, sortir de l’hôpital et avait trouvé un homme susceptible de l’aider, un homme qui sortait visiblement de son passé et qu’elle avait retrouvé. Elle avait espéré que les souvenirs lui reviennent, en particulier au sujet de Mr Gold. Elle aurait aimé se rappeler de lui, de leur relation, de ce qu’ils avaient vécu, et même de ce qu’elle avait éprouvé pour lui. Mais rien, à part quelques impressions furtives et des rêves tellement étranges qu’ils ne pouvaient certainement pas être des souvenirs. Elle aurait presque pu croire qu’il avait tout inventé, s’il n’avait pas connu certains faits à son propos qu’il lui aurait été impossible de deviner. Il n’en était pas moins un étranger pour elle, mais un étranger qu’elle avait envie d’apprendre peu à peu à connaître et pour lequel elle éprouvait une grande reconnaissance.

Elle savait qu’elle ne pouvait se considérer comme totalement en sécurité. Où qu’elle soit, Régina Mills se trouvait dans cette ville et elle n’avait sûrement pas été ravie de découvrir qu’elle s’était enfuie. Elle espérait que Jefferson n’aurait pas d’ennuis à cause de cela. Elle ne connaissait pas vraiment cette femme, mais les quelques fois où elle l’avait vue, elle lui avait fait froid dans le dos. Pour rien au monde elle n’aurait voulu la rencontrer. Elle savait qu’elle aurait dû se montrer raisonnable et rester chez Mr Gold afin d’éviter d’être vue, mais elle n’avait pas tenu bien longtemps. Elle était restée enfermée durant vingt-huit ans, et même si elle croyait que cela n’avait duré que moins de deux ans, il lui était difficile de se résoudre à ne plus sortir alors qu’elle s’était enfin échappée de sa prison. Et puis, elle se disait que dans le cas où Regina déciderait de partir à sa rechercher, la maison de son protecteur serait sans aucun doute l’un des premiers endroit qu’elle suspecterait. Le temps n’avait guère été long avant qu’elle commence à sortir lorsque Mr Gold était absent pour se promener dans les rues de la ville. Elle se persuadait qu’elle désirait seulement sortir, découvrir la ville, mais en vérité, elle espérait rencontrer quelqu’un, ou quelque chose qui lui permette de retrouver certains de ses souvenirs. Peut-être même tomberait-elle un jour sur l’endroit où elle avait vécu autrefois, mais rien à faire. Cependant, ses petites escapades avaient eu l’avantage de la familiariser avec les rues de la ville, et si elle avait encore du mal à s’y retrouver, elle se perdait beaucoup moins qu’auparavant.

Cet après-midi là, elle marchait dans la rue principale, songeuse. Il faisait encore froid, mais elle était suffisamment couverte pour ne pas en souffrir. Elle ne faisait pas vraiment attentions aux passants, ni à ce qui se trouvait autour d’elle, jusqu’au moment où sa semelle se posa sur un objet volumineux qui fit un son métallique. Elle s’arrêta et recula son pied, constatant qu’elle avait marché sur un trousseau de clefs. Elle le ramassa et regarda autour d’elle afin de voir qui aurait éventuellement pu le laisser tomber. Devant elle, la personne la plus proche se trouvait être un jeune garçon qui devait visiblement rentrer de l’école. Elle le suivit, marchant le plus rapidement possible afin de le rattraper, mais elle n’en eut pas le temps car il tourna et poussa la porte du Granny’s Coffee. Isabella était passée plusieurs fois devant mais n’y était encore jamais entrée. Elle évitait en général les espaces clos, au cas où elle se trouverait face à Régina et devrait fuir. Cependant, elle ne pouvait tout de même pas garder ce trousseau avec elle. Elle poussa donc la porte à son tour et y entra.

L’intérieur était plutôt chaleureux et elle n’eut aucun mal à repérer le propriétaire des clefs, qui était assis à une table. Elle s’approcha de lui et l’aborda avec un sourire chaleureux et attendri. « Bonjour. J’ai trouvé ça dans la rue. » Elle brandit l’objet pour le lui montrer. « Ce ne serait pas à toi par hasard ? »
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MessageSujet: Re: Fairy tales are nice, but they can't be real [Henry&Isabella]   Fairy tales are nice, but they can't be real [Henry&Isabella] EmptySam 9 Fév - 13:14



« Fairy tales are nice, but they can't be real. »


J’étais un peu enrhumé ce jour-là, et pour cause, il neigeait dehors. Le nez qui coule et un mouchoir à la main, c’est avec peine que je suivais le cours de mademoiselle Blanchard. Moi qui étais un bon élève, j’avais honte de songer à quitter son cours au plus vite, d’autant plus que j’affectionnais cette institutrice tout particulièrement. Après tout, si elle était vraiment la mère d’Emma, et ça j’en étais certain, elle était pour ainsi dire ma grand-mère. Je me souvins alors que si je pensais ainsi à quitter ma salle de classe, c’était parce que je rêvais d’une bonne tasse de chocolat chaud recouvert d’un lit de mousse onctueuse parsemé de cannelle en poudre, pour me réchauffer, et peut-être aussi parce que j’étais un petit garçon gourmand.

*Tic Tac* *Tic Tac*, la petite horloge ronde qui était suspendue au-dessus du tableau noir résonnait dans toute la salle de classe tant la concentration de mes camarades était extrême ou pas d’ailleurs. Certains travaillaient, d’autres chuchotaient, dessinaient, étaient dans la lune, ou encore d’autres comme moi visionnaient l’horloge. Elle indiquait que notre cours allait prendre fin dans dix minutes. Pendant ce temps, je décidai de me concentrer un peu sur mon travail.

Dix minutes plus tard, le doux son mélodieux du chocolat chaud qui m’attendait tinta. « Et n’oubliez pas les enfants de bien récupérer toutes vos petites affaires, et je vous dis à demain ! », dit Mary Margaret avec un grand sourire. Malheureusement pour elle, bon nombre d’élèves étaient partis avant qu’elle ne finisse sa phrase, mais au moins, ils n’avaient rien laissé. Je rangeai à mon tour mes affaires, et dis au revoir à mon professeur.

Une fois à l’extérieur je m’aperçu qu’il ne neigeait plus, mais la température quand à elle était restée telle quelle. Je marchai tête baissée d’un pas vif en direction du Granny’s Coffee. Le vent qui soufflait drôlement m’obligea à plisser les yeux et me fit couler quelques larmes au passage.
Arrivé devant la porte d’entrée, je la poussai pour entrer et la refermai directement derrière moi pour ne pas faire rentrer trop d’air frais, car dans un endroit où il fait chaud comme au Granny’s Coffee, c’est toujours plaisant de garder cette chaleur plutôt que d’avoir une rafale de vent chaque fois qu’une personne pousse la porte.
Je me dirigeai vers le bar pour aller voir Ruby. « Salut Henry ! Tu prends comme d’habitude je suppose ? », me dit-elle avec un gracieux sourire. « Comme toujours, je suis fidèle à mon chocolat ! », lui répondais-je. Quelques instants plus tard, elle revint au comptoir pour me donner ma boisson. Je remerciai Ruby, pris ma tasse et allai m’asseoir à une petite table à côté de la fenêtre.

Assis sur le fauteuil confortable, je humai le parfum que dégageai ma tasse. Je m’apprêtai à en boire une gorgée lorsque la clochette de la porte d'entrée tinta. Une petite brune se dévoila derrière elle et entra à l’intérieur du café. C’est avec surprise que je la vis se diriger vers moi. Elle tenait quelque chose dans sa main, je n’arrivais pas à voir ce que c’était jusqu’à ce qu'elle prenne la parole tout en me souriant, « Bonjour. J’ai trouvé ça dans la rue. », elle me montra l’objet en question que je n’eu pas de peine à reconnaître, « Ce ne serait pas à toi par hasard ? ». Instinctivement, je mis mes mains sur mes poches afin de les tâter pour voir s'il n'y avaut pas mes clefs. Ce qui était complètement idiot à y penser, car elles étaient sous mes yeux, dans la main de la belle inconnue et qu'il y avait bien mon porte-clefs dessus. « Oh merci beaucoup ! Heureusement que vous les avez trouvé, j’étais tellement pressé que je n’ai même pas fais attention que j’avais perdu mes clefs, pourtant je ne suis pas du genre à perdre mes affaires comme ça. », dis-je d’une voix angélique. Je lui tendis la main, « Je m’appelle Henry ! Et à qui ai-je l’honneur ? ».


Dernière édition par Henry Mills le Ven 8 Mar - 21:34, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Fairy tales are nice, but they can't be real [Henry&Isabella]   Fairy tales are nice, but they can't be real [Henry&Isabella] EmptyJeu 7 Mar - 16:53

Fairy tales are nice, but they can't be real [Henry&Isabella] Tumblr_inline_mfcpygNPJS1rvit7o

Elle avait bien cru qu’elle n’arriverait pas à rattraper ce jeune garçon, et elle fut soulagée de le voir entrer au Granny’s Coffee. C’était un lieu chaleureux qu’elle aimait bien fréquenter, même si elle évitait d’y rester trop longtemps de crainte que Régina ne décide un jour de s’y rendre et la repère ici. Malgré les jours qui passaient, elle se sentait toujours angoissée lorsqu’elle sortait, angoissée à l’idée que quelqu’un la reconnaisse, qu’elle soit rattrapée et remise en cellule, que le cauchemar recommence. C’était un cauchemar qui d’ailleurs, la hantait la plupart de ses nuits. Mais surtout, ce qui la hantait, c’était son absence de souvenirs, le vide de sa mémoire qu’elle ne parvenait pas à combler. Comment était-il possible que les souvenirs ne reviennent toujours pas ?
Malgré tout ce que lui avait expliqué Mr Gold, malgré ses très nombreuses visites en ville, malgré le fait qu’elle l’ait parcourue de long en large, rien ne lui revenait, pas même une impression de déjà-vu. Plus le temps passait, plus elle trouvait cela étrange. Elle était supposée avoir vécu ici, y avoir habité, alors comment se faisait-il qu’elle ne parvienne même pas à trouver la maison dans laquelle elle avait vécu ? Comment se faisait-il que personne ne semble avoir la moindre idée de qui elle était ? Voilà qui était de plus en plus curieux et elle désirait plus que tout connaître le fin mot de cette histoire.

Mais pour le moment, elle n’y pensait plus vraiment, ne se préoccupant que de retrouver un petit garçon, que, malheureusement, elle n’avait vu que de loin. Cependant, le lieu n’était pas immense et elle ne tarda pas à le retrouver. Elle put enfin s’avancer vers lui et lui rendre ses clefs. Elle avait prévu de repartir immédiatement afin de rentrer chez Gold, mais elle se voyait mal refuser de répondre à sa question, et puis elle avait toujours aimé les enfants. « Je m’appelle Isabella. Enchantée Henry. » Elle était bien évidemment loin d’imaginer qu’il n’était nul autre que le fils de la maire, auquel cas elle se serait montrée bien plus méfiante, de peur qu’il n’aille répéter à sa mère qu’il l’avait croisée.

Mais elle l’ignorait et elle ne voyait en lui qu’un adorable enfant. Il la remercia et expliqua qu’il n’avait pas dû y faire attention. « Et il n’y a pas de quoi pour les clefs. Je sais à quel point ça peut être ennuyeux de les perdre. » Si elle avait su que ces clefs ouvraient la maison de Régina Mills, elle aurait peut-être été plutôt tentée de les garder, ou au moins d’en faire un double avant de les rendre au jeune garçon. Mais elle l’ignorait, et de toute façon, il était trop tard. Elle n’avait pas vraiment l’intention de s’attarder, ou de le déranger. Cependant, elle devait bien admettre que son chocolat chaud sentait délicieusement bon et lui donnait envie.
Elle était cependant sur le point de lui dire au revoir, quand il ouvrit son sac pour y ranger ses clefs. C’est alors qu’elle aperçut un livre qui attira son attention, un livre plutôt épais, qu’elle indiqua du doigt. « Qu’est-ce que c’est ? »

A vrai dire, elle ne savait pas vraiment pourquoi elle lui avait posé cette question. C’était peut-être un peu absurde, il ne devait s’agir que d’un livre classique pour enfant. Mais elle avait posé la question, et elle pouvait bien en écouter la réponse. Et puis, il n’y avait rien qu’elle aimait tant que les livres et elle était tout de même curieuse de savoir à quoi ressemblait le livre que transportait ce petit garçon. N’osant cependant pas s’imposer en s’asseyant à sa table pour ne pas l’ennuyer, elle demeura debout et attendit qu’il lui explique ce qu’était ce fameux livre.
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MessageSujet: Re: Fairy tales are nice, but they can't be real [Henry&Isabella]   Fairy tales are nice, but they can't be real [Henry&Isabella] Empty

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